Prenez le large avec le Défi Voile 2024 sur l’Ocean Fifty !
De mai à octobre, embarquez aux côtés de Thibaut Vauchel-Camus pour une aventure humaine et solidaire en mer, à bord d’un trimaran de course au profit de la lutte contre la SEP. Des escales exceptionnelles, des souvenirs puissants, et un moment hors du temps pour les participants : les Sorties en mer 2024 sont ouvertes aux adhérents du Défi sports solidaires. Attention, les places sont limitées et une bonne mobilité est requise pour embarquer. À vos inscriptions !
actualité de mai à octobre 2025
De mai à octobre, prenez le large avec Thibaut Vauchel-Camus
Les "Sorties en mer 2024" du défi voile, sur l'Ocean Fifty, bateau de Thibaut Vauchel-Camus, ont leurs dates et leurs villes !
Saison 2024 :
- Ile d'Yeu : 1 ou 3 juillet
- Port-Camargue : 23 et 24 septembre
- Sainte-Maxime : 14 et 15 octobre
Villes passées : Saint-Malo : 30 et 31 mai, Fécamp : 6,7 et 8 juin et Pornichet : 15 juin
Obligation sécurité :
Pour votre sécurité et pour vivre une bonne expérience, un bon équilibre est nécessaire pour embarquer, débarquer et se déplacer sur les filets de l'Ocean Fifty.
L’accès au bateau ne se fait pas à quai mais en pleine mer. Ainsi, il faut être capable de monter sur le bateau rapidement. Cette condition de mobilité est nécessaire pour réaliser la sortie en mer, pour la sécurité de tous.
Veuillez, s’il vous plaît, au moment de votre inscription, préciser aux équipes de la fondation votre niveau de mobilité afin de vous accompagner au mieux.
Inscriptions limitées : pour vous inscrire, veuillez envoyer un email avec vos coordonnées, la date de sortie souhaitée et votre niveau de mobilité à l’adresse :
INSCRIPTIONS CLOTUREES
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Ils témoignent
Derrière chaque sclérose en plaques, il y a une histoire. Patients, patientes et professionnels de santé témoignent ici de leur vécu avec la sclérose en plaques : des parcours sincères, des défis, mais aussi de l’espoir.
J’ai été diagnostiquée de la SEP à 23 ans. tout s’est un peu effondré au début, mais aujourd'hui, avec les traitements et un bon suivi, je vis quasi normalement. La maladie m’a appris à mieux écouter mon corps, à ralentir quand il le faut, et à savourer les moments où tout va bien. Je refuse de laisser la SEP définir qui je suis.
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Patiente
Apprendre que j’avais une forme progressive a été un bouleversement. Ce n’est pas facile de voir mon quotidien changer petit à petit, mais j’ai appris à réinventer ma façon de vivre. Je me suis entouré d’un réseau solide, et je trouve du réconfort dans les petits progrès. Il y a des jours difficiles, bien sûr, mais je continue d’avancer, à mon rythme.
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