Dans le cadre d'un Master en Psychologie clinique à l’université Paris Nanterre, sous la direction du professeur Marie-Claire Gay, une étude est menée sur l’impact des représentations de la masculinité sur l’observance thérapeutique des hommes atteints de sclérose en plaques (SEP).
actualité 2025
Dans le cadre d'un Master en Psychologie clinique à l’université Paris Nanterre, sous la direction du professeur Marie-Claire Gay, une étude est menée sur l’impact des représentations de la masculinité sur l’observance thérapeutique des hommes atteints de sclérose en plaques (SEP).
Objectif de l'étude :
Etudier la perception de soi et de sa santé des hommes atteints de sclérose en plaques.
Qui peut participer ?
Hommes majeurs diagnostiqués de la sclérose en plaques. La participation se fait via un questionnaire anonyme (15 à 20 min)*
Pourquoi votre aide est précieuse ?
Le recrutement de participants est un défi majeur pour cette étude. Si vous êtes concerné ou si vous connaissez des personnes susceptibles d’être intéressées, merci de partager cette annonce !deur, une baisse de la force musculaire qui peuvent entraîner des difficultés pour marcher.
Comment participer ?
Cliquez sur le lien amenant à un formulaire d'information.
Merci pour votre soutien et votre aide précieuse dans cette recherche !
Une question sur cette étude ? Merci de la poser sur cette messagerie électronique.
Derrière chaque sclérose en plaques, il y a une histoire. Patients, patientes et professionnels de santé témoignent ici de leur vécu avec la sclérose en plaques : des parcours sincères, des défis, mais aussi de l’espoir.
J’ai été diagnostiquée de la SEP à 23 ans. tout s’est un peu effondré au début, mais aujourd'hui, avec les traitements et un bon suivi, je vis quasi normalement. La maladie m’a appris à mieux écouter mon corps, à ralentir quand il le faut, et à savourer les moments où tout va bien. Je refuse de laisser la SEP définir qui je suis.
Emma
Patiente
Apprendre que j’avais une forme progressive a été un bouleversement. Ce n’est pas facile de voir mon quotidien changer petit à petit, mais j’ai appris à réinventer ma façon de vivre. Je me suis entouré d’un réseau solide, et je trouve du réconfort dans les petits progrès. Il y a des jours difficiles, bien sûr, mais je continue d’avancer, à mon rythme.
Stéphane
Patient
Être neurologue, c’est bien plus que poser un diagnostic à mes patients.
C’est les accompagner, les rassurer, les écouter.
Mon rôle, c’est d’être là, pour eux, à chaque étape.
Parce que la sclérose en plaques ne se combat pas seul : on avance ensemble, patients et soignants, avec confiance, énergie et espoir.
Renaud
Neurologue